Le soleil d'or dort, alors je gribouille à La Caravelle
Le vent froid gèle mes doigts, mais je saisis le couchant qui brille encore sans me réchauffer. Puis, au goût du chocolat chaud, je gribouille au stylo bille quelques bouilles anonymes, même si
la bille ne les gâtent pas. Alors, " chocolat " !!!... je rentre au "chaud c/o la maison". Bruno
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